Texte – Énergies et jeux de la vie

Énergies et jeux de la vie… avec un exemple : l’argent, mais vous pouvez remplacer argent par ce que vous souhaitez (confiance, sommeil….), le principe est le même.Le jeu de la vie est différent pour chacun. Nous vivons certes côte à côte, mais plusieurs mondes se côtoient et s’expérimentent.
2 individus peuvent faire la même action et ne pas avoir les mêmes « retours » de la vie, c’est fondamentalement le jeu lui-même qui est différent : c’est-à-dire le désir profond, le pourquoi de l’action, ce qui est antérieur, ce qui anime, l’aspiration profonde… peu importe les mots.Le jeu peut être plus « personnel », c’est un jeu de protection, de mise à distance et aussi un jeu de pouvoir, de désir, d’amasser et de se construire sous une belle image de soi ou sous une autre forme, plus matérielle. Ça sert un personnage, du moins l’idée d’un personnage séparé du reste. Cela s’expérimente dans les 2 polarités : j’ai/je n’ai pas, je fais/je ne fais pas etc… car sans l’un, l’autre n’est pas connu.
Le jeu peut être plus impersonnel, c’est une reliance car tout est Energie. C’est une fusion en soi. Un rapprochement, un plein vécu, et paradoxalement une défocalisation, une reconnaissance de notre vraie nature.L’argent est Énergie aussi.
Cela qui semble « jouer avec » devient le jeu lui-même de l’argent.
C’est l’esprit conditionné qui s’expérimente : Le conditionnement et l’objet matérialisé (ici l’argent) ne font qu’un. Ils sont l’accomplissement de la vibration.
C’est un jeu en soi « sans personne aux commandes » ou dit autrement : « le commandant/le possesseur » et « le commandé/le possédé » sont juste les 2 faces d’une même pièce.
Qui croit posséder l’argent est possédé par l’argent.L’argent peut être là. Ce n’est pas un problème.
S’il est un problème c’est que le conditionnement attaché à celui-ci, en est un aussi.
C’est une belle occasion de mise en lumière et de libération de cycle.J’entends parfois « je n’en vis pas » mais cela reste subjectif.
* Dans quel cas ci-dessus suis-je ? (personnel ou impersonnel) Quel est mon désir profond ? Avoir, faire ou être ? Qu’est-ce que j’alimente ?
* De plus, C’est quoi vivre ? Pour certains c’est un rôle, des acquisitions, pour d’autres c’est le ressenti de l’instant…. qu’est-ce que j’alimente là aussi ? Un rôle, une étiquette qui se rendra un jour ou l’autre ? Ou l’instant vivant dans sa complétude ?Manquer d’argent peut arriver aux plus riches. Tout comme se sentir seul en étant entouré ou être malheureux sans raison.
C’est un conditionnement de l’esprit. Ce n’est pas cohérent et réel.Le conditionnement ne meurt pas avec l’obtention du désir lui-même. Et il ne meurt pas non plus dans la fuite et le rejet de celui-ci.
Quoi que nous faisions pour le problème, nous entretenons le problème lui-même, nous l’alimentons car nous l’avons VALIDÉ , PRIS POUR RÉEL.C’est ce réel-là, cette croyance qui se joue et se manifeste. Nous en faisons l’expérience (loi d’attraction). C’est vibratoire et énergétique.
Cette croyance est au-delà du positif et du négatif : Croire en l’argent ou ne pas croire en l’argent, c’est faire vivre l’argent comme tel.
C’est comme croire en dieu ou ne pas croire en dieu c’est déjà faire vivre un dieu.
Ce ne sont que des croyances. Dans ces croyances, il y a des énergies sous-jacentes de « devoirs » : « cela doit être » ou « cela ne doit pas être » comme ceci ou comme cela, c’est l’histoire de la croyance.
Ça ne dissout pas la racine, ça l’alimente.
Toute histoire alimente, que ce soit dans un sens ou dans un autre.Or le vivant (le divin, la conscience…) est au-delà de cela, libre car cela peut être ou ne pas être.
Le vivant accueille le jeu dans toutes les polarités, inconditionnellement.
L’instant vivant ne tient pas lieu des désirs personnels (volonté personnelle) car il est en lien avec la vibration émise.
Lorsque la vibration émise est teintée, colorée, c’est alors une réalité subjective de l’instant, tel un prisme, porteuse de « devoirs » avec des mécanismes de défense (fuite ou combat).L’argent n’est pas seulement un outil, c’est comme tout ce qui est autour de nous, c’est très vivant en soi mais nous ne le voyons pas car nous sommes aveuglés par nos croyances à son sujet.Nous ne vivons pas, nous croyons posséder la vie, nous nous croyons l’auteur et le possesseur de tout cela. C’est une façon de vivre qui ne fera que se projeter et s’accomplir encore et encore si nous l’entretenons. Un jeu qui se perpétue tant qu’il ne devient pas un problème en soi. La souffrance est alors une porte de sortie de ce cycle répétitif.

Mon « extérieur » est en lien avec mon climat intérieur. Il en est le reflet. Déjà accompli.
Toute recherche l’alimente dans un sens ou dans un autre.
Investiguer cela qui croit, cela qui veut, qui cherche, qui a peur …. est une clé afin de sortir des patterns.
Dans cet épurement, et décoloration du regard, se trouvera « l’éternel ».
Nous n’en sommes pas séparés.
Seul le conditionnement et les croyances font vivre cette illusoire séparation.
Nous ne sommes pas séparés de l’argent, ou de toute autre forme. Rien n’est à rejeter. Tout est à transcender.

Il n’y a aucun problème dans l’instant présent, c’est juste l’interprétation de celui-ci qui est souffrante.
Et quand bien même il y a quelque chose que vous ne souhaitez plus, alléluia : changez-le à l’intérieur, vibrez différemment, même si cela semble incohérent au départ.
Ne choisissez plus la voie du confort, des « je sais », des vérités déjà établies. Laissez-vous ÊTRE INSPIRÉ plutôt que de conspirer en vous-même, de vous arranger de la situation, de vous battre contre la vie (qui au final n’est pas confortable comme voie !!).
Reprenez votre pouvoir, et allez voir, allez introspecter, voyez par vous-même, expérimentez d’autres vibrations.
🙏❤️😘

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