Pourquoi regardes-tu le non-sens à l’extérieur de toi ?
Qu’est-ce qui fait qu’il y a condamnation de l’autre ou d’une poignée d’autres ?
Qu’est-ce qui fait que tu te sens séparé de cela ?
Crois-tu sincèrement que ce monde est un hasard ?
Cela ne correspond pas à tes seuls actes, non bien sûr ! cela remonte bien plus loin dans ta structure et englobe tout dans chacune de tes cellules.
Ce qu’on appelle un climat intérieur est un microcosme qui peut être éclairé vu et rendu. Tu n’es pas obligé de tourner en boucle. Il y a donc des changements de directions possibles : remonter sur notre structure, aller comprendre notre fonctionnement, libérer les vieux schémas obsolètes… tous ces carcans qui ne sont parfois que des protections devenues des prisons dorées et des peurs de l’autre et de l’inconnu.
C’est si facile de critiquer ou vouloir effacer ce qui est devant nos yeux, plutôt que de regarder en soi la racine (commune). Car oui s’il y a de la contrainte à l’extérieur, c’est qu’il y a encore de la contrainte à l’intérieur.
Pars de toi et ton monde changera tu verras.
Pars de toi et seulement de là.
Très très près.
Cela ne veut pas dire qu’il n’y aura pas d’actions mais tes actions seront en conscience de ce qui est présent en toi.
Aucune faute sur personne, juste une pleine libération pour tous.
🙏
Tu vois la différence ?
Rejeter sur l’extérieur est encore un rejet de soi. Un rejet qui se manifestera en attraction, de plus en plus fort, à la hauteur de la lutte. Une émission de vibrations, quelques ondes, qui tournent en boucle, juste parce qu’elles sont émises.
Englobe tout, englobe-toi avec.
La vie est inclusive et non exclusive.
Tu portes en toi ce qui a fait qu’à un moment donné il y a eu une certaine direction. C’est alors évidemment que le changement de direction viendra de la pleine mise en lumière des bénéfices secondaires.
Serais-tu prêt à ne plus te contraindre ? À lâcher ton bénéfice à te contraindre ? et juste laisser être.
–) Si oui active cela. Dès maintenant. N’attends pas qu’en face cela commence. N’oublie pas que tu es le centre de ton monde. Qui sent, entend, et ressent ? Toi n’est-ce pas… ? tu es donc le centre.
–) Sinon accepte encore le fruit de ta manifestation.
Prends ta pleine responsabilité. Vois qu’une partie te sert encore.
Une ouverture encore plus large peut alors se produire, libérant la contrainte et la liberté, les englobant toutes les 2 comme 2 faces d’une même pièce, juste un mouvement commun, main dans la main.
La contrainte sera vue comme une contre-étreinte, une frustration nécessaire pour générer quelque chose de plus grand. Elle sera accueillie et remercier. Juste un changement de perspective.
Dès lors, tu pourras te pardonner de tant de violences intérieures, de commentaires, de déversements et de luttes. Tu pourras rire de toi et rire de tout cela.
La vie « Une » continuera son déploiement, aussi paradoxal que cohérent. Tu accepteras de plus en plus d’en être le centre. Tu rejoindras un niveau plus intime de l’être, sans acquisition, sans valeur, sans savoir, juste un regard décoloré de quelques prismes. Juste une perspective délestée de quelques patterns.
Ne te crois pas arrivé quelque part…
Car rien de ce que tu peux enfermer, commenter n’est vraiment exact. Ce n’est qu’une perspective. Une perspective d’un « TOUT ».
C’est comme un point sur un cercle. Où est le début et où est la fin ? Tout début est déjà la fin ! Toute fin est le début !
Le cercle même n’existe pas sans ce point…
Ne cherche pas.
Reviens encore et encore, très très près de ce point. Quel point ?
N’importe lequel sur le cercle.
Tout y est complet.
Là où se place ton attention, mets-y tout ton coeur.
Réintègre.
Remonte à la source. Prends-toi en compte réellement et concrètement.
Réintègre…
♡