Texte – Souffrance et manque de courage

À tous ceux qui souffrent :
Non vous ne manquez de courage, au contraire vous êtes très courageux et capable de prendre en pleine face plein de grosses émotions et tensions.
Si ce « manque de courage » apparaît, sachez que c’est ici juste le corps de souffrance qui s’exprime. Son langage est : j’aurais dû, j’aurais pu.
Or est-ce que c’est vraiment vrai ??!
Bien sûr que non !
Il n’y a que ce qui est là qui est réel.
Le reste est illusion du mental. Un commentaire qui surgit ensuite. Ensuite seulement !

Nous ne pouvons faire autrement que ce qui arrive.
À nous donc de voir pourquoi nous ne nous accueillons pas dans ces situations ?
Car si la vie est inconditionnelle c’est que nous pouvons tout vivre.
Si elle est  » amour inconditionnel » c’est que nous pouvons tout vivre pleinement, et ce sans jugement ou honte 😊 sans mise à l’écart… un peu comme un « pourquoi pas ? »

Ne doutez pas que rien ne vous arrive que vous ne puissiez traverser.
Rien ne vous arrive que vous ne puissiez passer et transcender.
Rien n’est au hasard.

Cette force dans l’adversité est nécessaire pour plonger au cœur d’un retournement de conscience (un retour à la maison, un retour à sa vraie nature), et être honnête avec soi.
Rien n’est au hasard.

Merci d’être 🙏❤️

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Partout est ma maison, et tous ces gens que je rencontre mes frères et soeurs

Mon cousin est trisomique, il est entier, vrai et à fleur de peau.
Il vit les choses puissance 10 et quand on se laisse aller dans cette profondeur (si l’on veut bien dépasser le cap de certaines incompréhensions et « fausses » facilités) on peut se rendre encore plus loin en soi, dans des terres inconnues et insoupçonnées.

Pourquoi je parle de « fausses » facilités, car je me suis rendue compte un jour vers 10 ans, que j’avais poussé un peu loin le « contrôle » sur lui (c’était facile de l’accaparer, de « jouer » avec lui) et un jour sa réaction m’a fait très peur, j’ai eu peur de lui physiquement.
J’avais eu peur de lui pour la première fois ! Alors que je me sentais jusqu’alors si forte, (j’étais « l’aîné » des cousins) et si puissante face à lui.

Et cette peur fut le déclic à ma relation.
Dès lors je n’osais plus « jouer » avec lui, j’allais l’observer, le mettre au même niveau que moi et à ma grande surprise avoir un réel lien avec lui.
Quand je parle de lien je parle de relation, pas de souvenirs. La relation est au-delà de l’expérience, elle est dans cet abandon de soi-même pour aller rencontrer l’autre.
Et dans cette rencontre se vit la vraie rencontre avec soi-même, ça c’est la surprise de la surprise… le cercle vertueux, la fontaine de jouvence de notre merveilleuse vie.

Au fur et à mesure des moments passés, notamment chez ma grand-mère, cette relation me fit grandir, sur mes conditionnements, ma façon d’être envers le monde, envers moi-même , envers le vivant.
Mon cousin donne tellement sans s’en rendre compte.
Il est plein de gratitude pour l’attention qu’on lui donne. Et dans son authenticité il nous rend ce que l’on émet.

Je le vois cette semaine et je ne sais plus comment arrive dans la discussion, ce jour-là, des paroles en lien avec ma grand-mère. Je le vois d’un coup se « ternir » face à ses souvenirs, se recroqueviller en mettant ses mains dans sa tête. Il me dit « arrête tu me fais pleurer ».
J’étais à mille lieues de cela. En mon coeur, ma grand-mère est vivante et je n’accroche pas les souvenirs. Bien souvent ce sont eux qui nous rendent triste car nous sommes décentrés et plus en lien avec le vivant, nous sommes dans le « passé ». Ce sont juste des souvenirs. Et ce jour-là, j’allais lui rendre tout ce qu’il m’avait apporté depuis tant d’années.
Je lui dis « J’ai un secret pour toi, mamy elle est toujours là dans ton coeur. Le reste ce ne sont que des souvenirs. Si tu vas dans ton coeur, elle y sera». Il me dit « mais je ne sais pas faire » tout désemparé.
Je lui dis « c’est simple, place ton attention ici tout près (en le pointant du doigt) détends tes épaules ».
Et d’un seul coup je le vois souffler, comme s’il rendait tout à ce moment-là. Quand il ferma les yeux j’ai pu voir à quel point il était centré.
Il était nul part, à part ici tout près, en total abandon en lui-même.
Je suis restée scotchée de voir la vitesse à laquelle il se mit en méditation profonde.
Nous pensons toujours que la trisomie, (l’autisme et bien d’autres) sont des erreurs de la vie. Que nous pourrions changer cela. Mais la vie ne fait pas d’erreurs, elle est parfaite dans ce qu’elle nous offre sous toutes ces couleurs et ces formes. Puissions-nous ouvrir les yeux et voir cette richesse.

Je ne peux parler que de ce qu’il m’est donné de vivre. Je suis en cabinet avec toutes sortes de personnes. Et je remarque simplement que ceux que l’on considère à problèmes sont ceux qui « se mettent » en méditation profonde le plus rapidement possible. Ils se reconnectent d’autant plus vite à la terre, au vivant, ils sont plus connectés que nous. Ils sont spontanés et ressentent tout ce qui se passe autour. D’où le fait de les ramener à eux, sinon ils se sentent plus vite « perdus ».
Vous tous qui vous êtes tournés vers la spiritualité, vous savez qu’être perdus est nécessaire, sinon nous faisons l’expérience de nos croyances limitantes sans fin.
Se perdre c’est se rapprocher du divin en soi. C’est s’autoriser à sortir de certains cercles vicieux, à abandonner des mécanismes en soi.
Eux ils le sont au quotidien. Leur vulnérabilité nous ouvre un monde si riche d’amour, de force et de bienveillance.

Durant ce silence profond où s’en est allé l’histoire du passé, se goûta le vivant innommable.
Il ouvrit les yeux et se jeta dans mes bras.
Juste avant qu’il se love dans mes bras, j’ai vu dans ce bref instant, ses yeux pétillants, et son regard « non perdu ».
La « maison » c’est ici.
Ici nous sommes ! Tous ! Rien ne se perd ! Nous sommes tous ici dans ce cœur sacré.
Le reste n’est qu’errance et illusion de plusieurs mondes qui se chevauchent pour se goûter et s’expérimenter dans la dualité.
Si je reviens très près en moi je ne serai plus jamais perdu car en lien avec la vie qui m’anime.
Si je reviens très près ici, partout sera ma maison et tous ces gens que je rencontrerai mes frères et sœurs.

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Le jardin d’eden n’est pas si confortable

Apprendre avec le cœur, c’est retrouver la vérité en soi. Être le scientifique de sa vie, voir son fonctionnement, se confronter à ses peurs les plus profondes et ses questions les plus existentielles.
C’est revenir ici et maintenant dans l’expérience directe en abandonnant le doux chant des sirènes (rêveries et autres imaginations). C’est revenir dans sa banalité. Dans sa crudité. C’est s’ouvrir à tout. S’ouvrir à ses failles. S’ouvrir à ses ombres.
S’ouvrir et réaliser à quel point l’imagination et l’interprétation les ont galvaudées, les ont enfermées, les ont prises pour ce qu’elles ne sont pas.

Ouvrir son cœur, c’est être honnête envers soi, envers ce qui émerge, sans chercher à se dédouaner, à se changer, à se minimiser ou de se justifier.
Cela est. Dans sa beauté originelle, cela est. Pour celui qui ouvre son cœur, il verra fleurir son jardin d’eden = dedans. Là où la paix réside, là où la joie d’être réside, là où tout peut être ou ne pas être, sans contrainte et sans jugement.
Là où les 2 faces de la pièce se côtoient, comme un mariage parfait.
Là, bien avant tout vacarme, tout rôle, toute interprétation ou étiquette. Là où même le mot ne peut exprimer la vérité. Là où toute mise en contour éloigne un peu plus de la vérité.

Être avec le cœur, c’est faire de l’espace à la totalité et transcender la forme, quelle qu’elle soit, jusqu’au silence de l’être.

🙏❤️😘

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Prendre sa place

« Prendre sa place » est souvent perçu comme « faire partie » d’une famille, d’un groupe …

Prendre sa place est au-delà de tout groupe. C’est déjà là.
Juste être.

Être et vibrer ce qui émerge, ici et maintenant organiquement, spontanément.
Sans fuite. Sans rajout. Sans recherche d’autre chose que ce qui est déjà là. Sans contrainte. Sans but…
Juste l’éclat jaillissant de ces perles de lumière.

Merci à tous d’être 🙏
J’écris peu en ce moment car ça ne se présente pas. Et c’est tout autant riche d’enseignements en mon cœur.
Tant de connexions 💝❤️… réseaux sociaux ou pas 😊😉
Plein de bisous 😘

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L’abandon en soi

L’abandon en soi… s’autoriser à « faire de l’espace ».

Depuis quelques semaines, je vois beaucoup d’idées de fin du monde, d’extinction, de destruction planétaire. Et ce qui se révèle sous ces idées de fin du monde, c’est la peur de mourir, la peur de rendre.

Outre le fait que nous placions notre attention sur seulement ce qui disparaît et se meurt alors qu’il y a aussi ce qui apparaît, des espèces nouvelles, des changements sociaux et de l’honnêteté individuelle partout et de plus en plus…, il se révèle dessous la peur de mourir et le désir de maintien.
Pas une peur de mourir, dans le sens « explorer d’autres choses », il y a déjà un grand lâcher prise sur cet inconnu en soi, déjà une bonne dose de courage et d’oser vivre, de s’assumer.
Non, plutôt la peur de quitter cette vie que l’on s’est créé, quitter nos attachements, quitter nos conforts et nos privilèges.
Un peu comme si nous souhaitions explorer en gardant un pied dans l’ancien. Une forme de sécurité en sommes.
Et en cela c’est du maintien.
Nous ne pouvons pas recycler ce que nous conservons ! et ce, sur tous les plans (physique, émotionnel et mental) ; en chacun et collectivement.
Tant que nous n’abandonnons pas certains schémas, ils s’alimentent encore. Les 2 pieds doivent s’aligner dans le nouveau, aussi nu et déstabilisant soit-il.

Pourtant nous sommes nés sans personnalité et sans valeur, puisque nous les construisons… nous sommes nés sans nos créations sociales puisque nous les construisons…
Mais nous sommes attachés à nos créations physiques et psychiques.
Nous naissons juste avec des potentiels. Nus.
Si nus que tout est possible.
Donc plus tôt je prendrai de la hauteur, de la distance, plus je me comprendrai (qui suis-je bien avant toutes ces créations), plus cette nudité me sera alors de nouveau accessible (cette nudité, ce silence, cet espace qui recycle toute forme).
Si des formes et des schémas ne sont pas abandonnés en moi-même, comment peuvent-ils s’abandonner dans mon extérieur ? (Loi d’attraction)
Je ne fais que les créer à nouveau, les insuffler, leur donner vie… un peu comme si je m’essoufflais à souffler sur des braises, pensant pouvoir les éteindre. Un cercle vicieux…

Cet espace en soi, ce silence, cette nudité de l’âme, peut être accompagnée de ces créations, un peu comme un ciel avec des nuages. Ce ne sont pas les nuages le problème, mais l’espace que je leur accorde. Tout est question de perspective. Plus l’espace est vaste, plus le nuage semblera petit… si mon espace intérieur s’agrandit en reconnaissant « ce que je suis bien avant » alors ma paix ne sera plus à combattre mes nuages et mes zones d’ombre. Cet espace pourra accueillir tout cela et ainsi d’autres actions en découleront.

Ce changement de perspective nous permet une action juste et le pouvoir de goûter, savourer, être en gratitude, sans rien maintenir.
Dans ce non-maintien se révèle ce que je suis de tout temps et de toutes créations, ma vraie nature, libre de toute forme, au-delà de tous concepts. Bien avant le bien et le mal, le passé et le futur, bien avant le commencement et la fin, bien avant toute idée sur moi-même, je suis.
Déjà libre. Libre de tisser et détisser, libre de créer et de démolir. Libre d’accueillir et de rendre. Libre de recycler.

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L’étincelle de vie

Tu m’as donné l’espoir pour effacer mes souvenirs,
Tu m’as donné la lumière pour oublier mes ombres,
Tu m’as donné la joie pour oublier mes tristes tests … Mes expériences jugées, enfermées, mises en contour où je me suis auto-sali, auto-détaillé et autocritiqué.
Où je ne me suis pas aimé,
Où je me suis séparé,
Séparé du cadeau si précieux de vivre la totalité de ce que je suis,
Me goûter dans toutes mes teintes.

Cette même joie tu me l’as donné pour oublier mes tendres années,
Mes créations si belles que leur empreinte est si forte,
Pour oublier la lumière, les paillettes,
Pour oublier l’étincelle que j’ai mise sous verre. De nouveau enfermée, et mise en contour.

Rien n’est plus beau que l’étincelle qui « éteint celle » d’avant et se révèle à elle-même au-delà de la forme… vivante, vibrante.

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Au-delà de tous jugements

Convaincre et sauver le monde c’est vouloir faire accepter sa position, son point de vue comme une vérité.

Qu’est-ce qu’on en sait si faire la guerre n’a pas son sentiment de joie, s’il n’y a pas un élan à s’expérimenter là-dedans ?
À être courageux, se sentir vivant, fort, solidaire… expérimenter tous ces sentiments de l’instant joyeux et libre.

Qu’est-ce qu’on en sait si se protéger, être la victime n’est pas désiré aussi au plus profond ?
Être fragile, qu’on nous donne de l’attention, qu’on se sente protéger, envelopper, confortable… encore des sentiments de l’instant joyeux et libre.

Qu’est-ce qu’on en sait si se mettre en colère, entrer en conflit, se fatiguer et se plaindre, n’ont pas le petit grain de joie qui pousse à cela ?
Sentir son torse se bomber, ses veines se gonfler, sa gorge se déployer, ses épaules se lever, aller au-delà de ses limites, se dépasser… et puis en parler pourquoi pas !! « se raconter » ! parler de cet instant joyeux et libre comme si cela ne devait pas être… ainsi avoir le sentiment d’être un sur-homme, être capable, être celui ou celle qui a subi et vaincu.
Oh glorieux « petit moi », personnage central d’une vie, pourtant si illusoire.

Oh merveilleux sentiments ! Quelle richesse de vous avoir !
Puissions-nous voir à quel point nous sommes exaucés à chaque instant.

Et dans cette « pousse » de joie va éclore la beauté et l’infinie intelligence de vie qui nous dépasse, qui dépasse ce petit moi positionnable, orgueilleux, vaniteux de ce qu’il croit avoir : connaissances, valeurs, biens illusoires.

Au-delà de tous jugements et interprétation de l’instant… je suis !
Je suis déjà tout cela et libre de tout cela… je n’ai donc rien de tout cela et pourtant si riche de tout cela.

Gratitude pour ces belles énergies de noël !
Gratitude pour ce nouveau monde qui éclot plus authentique.

Il est vrai que c’est inconfortable. Mais c’est juste un sentiment joyeux et libre lui aussi. Certes dans notre société nous n’avons pas l’habitude de celui-ci.
Le confort (au détriment de nos ressources, de la terre) s’est tellement installé. « Gagner de l’argent » est devenu plus important que la vie elle-même. Quand est-ce qu’il y a eu cette bascule ? on ne l’a pas vu venir… il est temps de prendre soin de Soi 🌎☘️🌲🐝

Puissions-nous rester centrer et laisser ce qui nous dépasse ÊTRE, sans intervenir mentalement, sans l’enfermer dans des croyances limitantes.
« Peut-être que oui… peut-être que non ! »
Accueillons notre impuissance face à ce grand plan collectif.
Restons ouverts les âmis.

Vivons l’instant joyeux et LIBRE.
Vivons toutes ces polarités de vie en remerciant tous ces sentiments d’être.

❤️

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Me rencontrer et me reconnaître à travers l’autre

À travers l’autre, je me rencontre.
Je rencontre mes doutes, mes peurs, mes envies, mes jugements, mes capacités, mes ressources actuelles, mes contraintes, mes devoirs, mes vouloirs…
Je rencontre mes aspirations, mes élans, mes désirs, mes plaisirs, mes créations.
Je rencontre toutes mes parts, celles qui poussent, celles qui se fanent et se rendent.
Je rencontre toutes mes mises en contour, toutes mes visions subjectives de l’instant.
Je m’y rencontre éternellement.
Je rencontre l’Amour sous toutes ses formes.

Je rencontre la richesse du potentiel que je suis.
Et je ne peux qu’être émerveillée et reconnaissante.
Prendre, prendre, prendre… tout cela.
L’accueillir, l’accepter, le digérer, l’intégrer.
Parfois la digestion est difficile, le lâcher-prise ne fonctionne pas et c’est normal si ce n’est pas « pris » au préalable, si cela est toujours maintenu à distance.
Je rencontre alors « ma mise à distance », cette expérience merveilleuse de me scinder et de me refouler.
Je rencontre encore l’Amour sous toutes ses formes.

Aucune fuite et non responsabilité.
Aucun jeu de « je ne suis pas digne », « je ne mérite pas », « mais pourquoi moi »…
Aucune fausse modestie et fausse complaisance.

Tout cela m’est offert, tout ce que je vois, je vis, je ressens, j’entends, c’est le merveilleux présent  🙏
Chercher la reconnaissance ailleurs que dans ce don déjà présent, c’est continuer à se scinder et déclarer mon incomplétude. Alors que c’est déjà là !
C’est un jeu de l’esprit, où « l’autre » me reflète toutes mes vibrations, toute ma grandeur.

Tout ce que je vois chez l’autre est cadeau… pour me voir moi-même, pour me connaitre, me reconnaître au-delà de ce que je crois être et me réunifier.

La qualité et le défaut fusionnent

Ce sont les mêmes qui s’expérimentent d’un côté et de l’autre.
Suivant un point de vue il est utile et appréciable, et de l’autre inutile et désagréable.
Tant qu’on n’a pas réalisé en soi ces 2 faces, ces 2 forces, il y a quelque chose que l’on cherche à rejeter, à écarter et à fuir.
Et pourquoi n’y arrive-t-on pas (à écarter l’un)? Car ce serait effacer, par la même occasion, l’autre face.
Alors pour certains c’est une voie, une recherche, une quête. Mais pas une vérité.

Vouloir écarter de soi ces défauts, c’est écarter de même ses qualités.
Dans le défaut lui-même, la qualité est là.
Ne rien jeter, c’est tout accueillir.
La lenteur peut être mal vue sur un certain plan et très appréciable sur un autre (ralentissement intérieur pour méditer)
Amusez-vous à trouver les situations où vos défauts sont nécessaires.
Retournez-les dans tous les sens et situations et voyez…. que tout est juste.
❤️🕉

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